La lettre Z, l'éternel recommencement

Le Z est une lettre finale, elle symbolise un va et vient, le croisement des temps, le retournement de la matière, la mutation et des cycles.
Composée de deux lignes horizontales reliées par une diagonale, elle évoque un passage ou une transition, c’est la lettre de l’alliance entre le début et la fin.
Elle sert souvent de rappel que sur tout les plans, qu'il soit mental, astral ou terrestre que tout a un cycle. Que tout a une fin et qu’avec chaque fin vient un nouveau commencement.
Le “Z” se tient à la frontière entre la fin d’une réalité et le seuil d’une autre.
Ce phénomène de la fin, qui est la véritable cause du commencement, est difficilement concevable pour nos esprits.
La fin, pour notre intellect, signifie l'arrêt, l'impossibilité de continuer, plus rien, aucune suite, la fécondité ne remplit plus son rôle, elle devient stérile.
Pour notre mental, l'infini ne peut se concevoir, puisque la vision comme l'observation arrive à leurs termes.
Pourtant, les cycles de la vie, nous démontrent que rien n'est fini, qu'elle est un éternel recommencement.
Quand, l'automne touche à sa fin et l'hiver de s'installer, la nature semble désertique, tout est asséché, des paysages désolants ou la mort est partout, la fin est là devant nos yeux, personne peut nier ce fait observable et évident...
Une personne consciente, n’ayant aucune expérience terrestre et qui assiste à ce constat pour la première fois, ne peut prédire ou envisager une suite, sa conclusion seraiT que tout est fini, que la mort des végétaux est signe que la vie les à quitté qu'il n'existe plus, hormis leurs cadavres que le temps consumera dans la durée.
Le langage analogique nous apprend par l'adage suivant que : ce qui est en haut est comme ce qui est en bas, et ce qui est en bas est comme ce qui est haut ! En similitude, mais pas en identité, l'identité est une manifestation apparente et propre en un lieu, alors que la similarité est une ressemblance par le mécanisme qui les anime, l’œuf d'autruche, bien qu'il soit similaire à celui du moineau il n'en est pas pour autant identique, c'est le principe de la vibration.
Par l’expérience, on observe que ce qui ce déroule devant nos yeux, n'est en fait que la fin d'un cycle.
La fin du cycle saisonnier par l'automne et l'hiver, ou tout se meurt, s'ensuit un nouveau cycle, une nouvelle saison, que le printemps ou la renaissance viendra embellir de nouveau la vie, on constate que ce que l'on considère être une fin, n'est en réalité qu'une transition.
le mécanisme de ce principe de vie et de mort, agi de la même manière sur toutes les dimensions de l'existence.
Ce qui est en haut est un champ invisible à notre vision, c'est un plan non observable pour notre raison intellectuelle, cependant, la pratique analogique par le principe de correspondance, nous indique que ce même mécanisme se déroule sous nos yeux dans ce monde terrestre.
Bien, qu'il soit invisible, il agit de la même manière sur le plan supérieur, seule leurs échelles de grandeur et leurs vibrations sont différentes.
Il nous indique que la mort est une transition, une mutation, un changement d'état vibratoire, un passage d'un état à un autre, d'une échelle à une autre, un changement de dimensions.
Le Z est la dernière lettre mais les parcourt toute pour leur donner vie. Il signale que rien n’est jamais terminé, le mystère et la peur qui accompagne la mort sont en partie résolue !
Depuis une soixantaine d'années, nous avons commencé un nouveau cycle astrologique, nous avons quitté l’ère du poisson et sommes entrés dans celui du verseau, c'est le renouveau. le soleil parcourt un signe du zodiaque en 2.160 ans et fait le tour des douze signes du zodiaque, en 25920 ans.
Enfin le Z symbolise l'époque actuelle, cette apocalypse révélatrice du verseau où l’unité d’en haut vient féconder l’unité d’en bas.