Pour les adeptes de la raison pure, au-delà de cette limite, vos pensées ne sont plus valables...

- Sans vertu aucune action, si vouable et admirable puisse t'elle paraître, ne peut être juste, car, la justice elle-même est du ressort de la vertu -

Lettre V

Des oiseaux de par leur symbole volatile et de légèreté, sont au plus prés du ciel

Vanité

Du Latin vanitas - vanus, qui signifie un état de vide de non-réalité, tromperie, parole creuse, vaine apparence, mensonge flatteur, fraude...

La vanité selon les dictionnaires serait :

  • Larousse : Littéraire, satisfaction de soi-même, sentiment d'orgueil, défaut de quelqu'un qui étale sa satisfaction de soi-même, caractère de ce qui est vain, futile, vide de sens.
  • Wikipédia : Le nom du genre des Vanités est issu de la sentence de l’Ecclésiaste, livre de l’Ancien Testament (Bible) : « הֲבֵל הֲבָלִים הַכֹּל הָֽבֶל » (« Vanité des vanités, tout est vanité »).
    Le terme traduit par « vanité » signifie littéralement « souffle léger, vapeur éphémère ». Le message est de méditer sur la nature passagère et « vaine » (d’où « vanité ») de la vie humaine, l’inutilité des plaisirs du monde face à la mort qui guette.
    Une vanité est une représentation allégorique de la mort, du passage du temps, de la vacuité des passions et activités humaines.

En lettre symbolique :

  • V : Rassembles-en un point – La concentration – Vase.
  • A : Aleph – Alpha – Premier – Commencement – La règle – L’esprit.
  • N : Analogie – Permutation – Retournèrent – La Haine
  • I : L’unité – L'un – Dieu – Intelligence – Idée – Intuition – Incarnation – Transcendance.
  • T : FixaTion – les racines – L’élément terre. (l’état solide de la matière)
  • É : Le monde -> les trois éléments : matériel, spirituel, divin, relié par l’unité.

Traduction : ce qui est rassemblé en un point V, ce qui est premier ou commencement A, permute N, l'intelligence ou la lumière divine I, la fixation T, du monde E

Explication : le contenu de ce qui était premier dans l'esprit, a été permuter et fixé par l'ego s'est transformé en haine.

Conclusion : l'intelligence suprême du créateur, pervertit et accaparé par l'ego, se fige dans le monde en haine.
Autrement dit, la vanité n'est qu'un mimétisme de l'intelligence reçu du créateur que l'homme a perverti, il se l'est octroyé pour la rendre sienne, ce qui sème le désordre dans le monde.

En langage de l'âme :

  • VA : va du verbe aller, celui qui va,chemine selon ses principes.
  • NI : ni diminutif du verbe nier.
  • : té, étant l'élément terre, et l'élémentaire c'est ce qui est premier.

Rappel : la vanité comme l'orgueil sont des sentiments liés à l'émotion de peur.
Historiquement, les hommes sont un fait de l'évolution, par l'avènement de l'agriculture, la possession des terres et des savoirs à modifier les rapports entre eux.
Les conflits sont nés de leurs différences de choix, d'un côté ils y avaient : les exploitants devenus sédentaires, qui se battaient entre eux pour l'acquisition du savoir-faire.
Et de l'autre côté, vivaient ceux qui étaient restés des nomades, habitués à prendre ce que la nature offrait, là ou ils se trouvaient.
Durant des millénaires, les peuples ne vivaient que de guerre, de conflits, défendre sa terre, sa religion, sa patrie, son savoir, etc...
Tout jeune garçon venant au monde, était destiné à être un soldat, un guerrier, de ce fait, les élites, érigées en valeur morale, un conditionnement qui consistait à récompenser ses jeunes gens par des avantages sociaux représentés par des médailles, tout dévouement à la patrie ou à la religion. Ceux qui montraient le plus de déterminations aux combats, devenaient de véritables héros de la nation, on organisait des parades pour les montrer en exemple.
La vanité, était une valeur pour montrer l'évidente supériorité d'une patrie, d'une religion, d'un individu sur les autres.
Elle provient de cet esprit guerrier et qui s'est transmis de génération en génération, subsistant encore dans les sociétés d'aujourd'hui, qui ne se sont abstenues de conflit guerrier que depuis un demi-siècle environ, il s'agit, pour l'essentiel, des grandes nations, c'est une situation que jamais le monde n'avait connue auparavant.

Conclusion : la vanité est une émotion de peur, qui est exprimée par un sentiment de supériorité pour éliminer toute sensibilité, elle s'est développée par la possession, de terre et du savoir-faire, toujours présente de nos jours, c'est le matérialisme.
Ce sentiment, marque la différence de nos choix, selon, la peur du manque, illustré par le mythe d'Abel et de Caïn :

  • il y a ceux qui protègent leurs acquis et qui refusent le partage, donc le droit d'accès aux autres par la force ou la ruse, c'est les matérialistes pur et dur.
  • Ceux, pour qui la valeur s'exprime par un supérieur et un inférieur, qui pensent qu'il y a les savants et des ignorants, ce sont les moralistes, qui ne sont rien d'autre que des matérialistes croyants, qui se servent de la morale comme prétexte, ils pensent que l'autre à également des droits naturels, à condition qu'il accepte leur supériorité.
  • Et enfin, ceux qui ont pris conscience par leurs sensibilités, de l'existence d'une entité supérieure à eux, et que l'abondance est naturelle, que les différences sont une richesse et se reconnaissent à travers la valeur, qu'est celle du partage et du respect de l'autre.

Vérité

Sujet épineux par excellence, la vérité se veut universelle (Uni-vers-elle), pourtant, elle nous divise plus qu'elle nous réunis, pourquoi donc ?
Voyons ce que nous disent les dictionnaires à son propos :

  • Du Latin : véritas, vérité, réalité, spontanéité, franchise, honnêteté, loyauté, droiture, sincérité, règle, norme.
  • Dictionnaire : correspondance entre une proposition et la réalité à laquelle cette proposition réfère.
  • Symboles des lettres :
  • V :Rassembles-en un point – La concentration – Vase.
  • É :Le monde et ses trois dimensions, matériel, spirituel et divin.
  • R :Le souffle – L’élément air.
  • I :La lumière divine ou faisceau lumineux – Transcendance..
  • T :FixaTion – les racines – L’élément terre (l’état solide de la matière).
  • É :Le monde et ses trois dimensions, matériel, spirituel et divin.

Traduction : ce qui est rassemblé V le monde E par le souffle R, la lumière divine I se fixe dans la terre T et dans le monde É

Explication : ce qui est rassemble le monde est le souffle divin qui est fixé dans les racines de la terre.

Syllabique :

  • Ver : vers, est la direction à prendre.
  • I : la transcendance.
  • T : c'est l'élément terre, qui est également l'élément-air.

Conclusion : de l'élément terre, qui est une allégorie qui nous dit, que la vérité est cachée dans les racines de la terre, nous devons creuser pour la trouvé, ce qui veut dire, que derrière l'apparence de la matière, se dissimule une vérité.
Et l'autre voie, c'est l'élément-air, qu'il faut nous transcender pour trouver la lumière du ciel (air).

Vertige

Le vertige est : une peur, un malaise ressenti au-dessus du vide, se traduisant par la sensation d'être attiré par celui-ci et par des pertes d'équilibre.
Définition par le langage de l'âme...

  • Vert : est un terme qui évoque l'immaturité, en cela, il nous prévient de quelque chose de dissimuler, le vert est également une couleur, qui est le symbole du secret, des choses cachées, là où il y a du vert, réside quelque chose à découvrir.
    Le vers de cette orthographe, nous indique la direction à suivre.
  • tige : de la tige, le Larousse dit : Axe principal de la partie aérienne (ou aquatique) des plantes à racines.
    on nous parle de verticalité et d'une partie qui serait aérienne, donc qui s'élève vers plus de hauteur.

Conclusion: si la tige nous recommande de garder nos racines ancrées dans la terre, elle nous indique également de nous élever vers le ciel, la couleur verte nous dit qu'il y a quelque chose à découvrir, cela, provoque effectivement un vertige.
À chaque fois que le vertige se manifeste en tant que malaise, notre inconscient nous recommande de plonger vers (ou vert ou Ou-vert-ure) les profondeurs de notre vide intérieur qui traduit notre peur de nous découvrir.

Autrement dit : c'est par la peur de notre propre vide, qui provoque les vertiges. Nous nous abstenons du silence, nous lui préférons l'agitation, pour éviter de gamberger sur le sens (Vers-direction) même de ce que nous faisons de et dans nos vies...
L'esprit par le biais de notre inconscient, qui suite à un choix que nous avons effectué, une difficulté que l'on a subie ou rencontrée, nous indique que nous avons emprunté un mauvais chemin ou direction. Nous agissons toujours ou presque par l'horizontalité, l'esprit nous rappelle par là TIGE, qu'il existe une verticalité pour agrandir nos consciences et pour cela de ne pas s'en tenir qu'à la raison par le mécanisme des causes et de leurs effets.

Vertus

La vertu est une notion à l'intersection des ensembles de la philosophie, spiritualité, religion et de la politique. Elle est une qualité, une propriété particulièrement, efficace de quelque chose ; pouvoir, propriété : Les principales vertus d'une plante...
La vertu constitue l'ensemble de propriétés qui régit le comportement moral humain. Elle est le chemin vers le bien-être, la liberté, l'Amour, de la sagesse, c'est la référence, l'étalon en matière de comportement moral. Ver-s, est un terme que l'on retrouve à la racine de certains mots :

  • Ver, agent pathogène
  • Ver, animaux invertébrés, que l'on trouve au cœur des fruits, dans la terre...
  • Vers, énoncé linguistique, poésie.
  • Vert, il est à la racine de la couleur.
  • vers, de même qu'il soit celui du sens en tant que direction.
  • Verre, le matériaux, substance minéral transparente, translucide ou opaque, famille des minéraux.
  • Verser, répandre, couler, remettre, adjoindre, etc.
  • vérité, également le socle du mot.
  • Tous ces termes et bien d'autres qui ont pour racine le terme : Ver-s, nous indiquent la présence d'un choix, celui de vers en tant que direction. Selon le niveau de la conscience qui analyse, qui peut décliner de la transparence (sincérité) à l'opacité (l'obscurité, ombre, dissimuler, cacher...).
    Ou la présence d'un agent pathogène qui engendre une infection ou d'un ver de terre, qui décompose la matière.
    Tu, est un pronom personnel, or, le tu, est également la racine du le verbe taire, comme du verbe tuer , en occurrence se taire à la troisième personne du singulier nous donne : se tu-t que l'on entend par : se tue.
    Oui mais, tuer qui, et taire quoi ? Le tu évoques symboliquement le vice, tel que l'orgueil, le fils de la paresse, dont il forme le socle de l'égo, le faire taire, le tuer au sens symbolique afin qu'il n'interfère pas dans les choix de la direction...

Vertu : pourrait se résumer en ver qui tu, qui dégrade un organisme. De ver, agent pathogène de la corruption.vienne contaminer la coupe de beaux fruits de l’arbre de la Connaissance du Bien et du Mal. La vertu, n'est autre que le fait de taire, d'éliminer le vice. C'est ériger en (vers, direction) soi la valeur morale, c'est l’intériorisé, l'adopter et plus exactement de l'incarner. C'est la pensée, la parole et l'acte juste en vertu...

Vie

La vie est le grand chapitre de nos modestes existences, qu'est ce que la vie dirait le profane ?
C'est tout ce qui se vit répondrait un autre profane...
V-I-E, comme pour L'ÂME, sa définition se tiens dans trois lettres, ou comment la magit du créateur en fait une démonstaration prodigieuse.
Le V, qui est le contenant, donc le vase.
Le I, c'est le symbole de la déité et de l'allignement.
Et E, représenté par un trait vertical qu'est le Divin qui maintiens les trois traits, que sont la représentation des trois dimensions que sont :

  • Le monde terrestre.
  • Le monde céleste.
  • Le divin lui-même.

Explication concernant le Divin qui est à la fois à l'intérieur de toutes choses créer, de même qu'il est à l'extérieur de sa création pour la maintenir, en cela il est le visible est l'invisible. Il est le Rien qui maintien le Tout...
Alors, la prochaine fois que vous vous entendez dire que c'est : rien du tout, vous y penserez à deux fois quand au sens de ce que vous dites.

Vipère

La vipère, est un reptile, comme tous les serpents, a une mauvaise image au sein du collectif humain, souvent crains pour leurs morsures pouvant être mortel, et plus encore, leurs discrétions, la capacité à surgir soudainement dans le champ visuel, surprennent plus d'un.
Bien qu'historiquement et selon les interprétations, le serpent, puisse parfois arborer une image positive.
À l'origine, il fut le symbole du principe féminin : dans « Le rameau d’or » de l'anthropologue écossais Sir James George Frazer, le vagin des vierges était un nid de serpents, il a souvent été associé aux forces vitales et à la fécondité. ce n'est que bien plus tard qu'il devient, un symbole phallique, donc du masculin.
De même, qu'il a été associé comme symbole du bien comme du mal, faire le mal pour un bien !
Que nous dit ce nom ?
En Latin : se dit vipera, former du mot vivus, vif, vivant, et parere, qui signifie enfanter.

Vi et Père, autrement dit, c'est le modèle patriarcal toujours en cours, c'est la vie selon les directives du père. On retrouve ici, le principe masculin, qui repose sur :

  • L'ordre
  • La force
  • La raison
  • Le plaisir
  • L'abnégation

Au vu de ces principes, il est évident que la sensibilité, la douceur, la morale, l'amour et l'unité ne font pas partie du mode de fonctionnement des reptiliens, ne dit-on pas que le serpent à un sang froid ? C'est sans doute par ce sang froid et le désir de l'ordre qui est linéaire, que le serpent fut le symbole protecteur de son opposé, c'est-à-dire du principe féminin ?
Pour rappel : il s'agit ici de principes féminin et masculin qui sont des caractéristiques en tant qu'énergie et qu'ils se trouvent en chacun des deux sexes, que l'on soit femme ou homme, symboliquement, c'est les deux hémisphères du cerveau.
Le père, n'est qu'une allégorie du principe masculin incarner dans l'image du patriarche, comme il existe des femmes dont le principe masculin est plus marquant que chez certains hommes...

Vitriol

Le vitriol, officiellement c'est-à-dire selon les dictionnaires c'est : un mot issu d'ancien français vedriol « sulfate de fer ».
Nom donné autrefois aux sulfates. Ancien nom de l'acide sulfurique concentré.
Mais à l'origine, ce sont les initiales une formule issue du Latin qui dit ceci : Visita interiorem terrae rectificando invenies operae lapidem.
Traduction : Descends dans les entrailles de la terre, en distillant tu trouveras la pierre de l'œuvre.
Explication : Ces initiales ont formé un mot initiatique, qui exprime la loi d'un processus de transformation de l'être.
Il concernant, le voyage vers l'intérieur de soi, c'est le retour de l'être à ce qu'il est vraiment, c'est le coeur, le noyau, c'est ce qui est le plus intime en la personne humaine...
Autrement dit: Descends au plus profond de toi-même et trouve le noyau insécable, sur lequel tu pourras bâtir une autre personnalité, un homme nouveau.

Volonté

La volonté a pour source le désir, on ne peut avoir de la volonté pour quelque chose que l'on ne désire pas.
Vol-on-té, c'est ce qui est Vol-en-terre.
Le Vol, est du domaine de hauteur, donc du céleste.
Le V c'est aussi le vase qui contient ce qui aura été attraper en Vol.
Le On représente celui ou celle qui l'attrape en vol ou en terre, c'est ce qui est au ciel, c'est l'idée nouvelle ou concept née par l'imagination que l'on as eu par l'inspiration, qui n'est autre que le souffle du Divin.
Ou En, représente l'intériorité, ce qui se trouve caché à l'intérieur de quelque chose.
Et enfin Terre, qui représente le milieu au sein duquel l'idée ou vérité qui aura été découverte, puisqu'elle serait caché dans un objet, un animal, une plante, etc. ET qui serait issu de ce milieu terrestre.
En résumé, la volonté, c'est un désir qui nous met en marche dans le but de découvrir ou avoir l'idée pour résoudre, accomplir, réaliser quelque chose qui soit d'ordre très personnel ou collectif et c'est de cet accomplissement que né l'expression de volonté.

Voyelle

Définition officielle dans le dictionnaire (Larousse), Les voyelles : son du langage dont l'articulation est caractérisée par le libre écoulement du flux d'air expiré à travers le conduit vocal qui ne comporte aucun obstacle susceptible d'engendrer la formation d'un bruit audible.

En langage de l'âme :

  • Vois : du verbe voir, qui consiste à observer le réel. Le verbe voir et l'auxiliaire A-voir ont la même racine. Avoir, évoque la possession, donc l'attachement au monde terrestre, à la matière. La lettre A placé devant un mot est restrictive, de ce fait elle annule le sens du mot, en l'occurrence A-voir, sans le "A" redevient Voir, retrouvé la vue ou la liberté de la vision.
  • Ailes : nous invite à l'envol, prendre de la hauteur, échapper à la gravité terrestre pour rejoindre le monde Céleste.
  • Voix : c'est le son qui nous suggère l'écoute, pour assimiler le sens de ses vibrations.
  • Elles : pronom féminin pluriel de ses deux ll, qui s'entend par Ailes, nous invite à l'envol...La sensibilité est une fonction du principe Féminin, à laquelle le pronom attire notre attention.
  • Voie : le chemin a emprunter.
  • El : d'origine sémite, El, n'est ni plus, ni moins que la manifestation du Divin ou conscience universelle dans notre monde, c'est la connexion à établir avec lui.

Conclusion : les voyelles, par cette triade, nous indiquent clairement, quel que soit le choix, tous mènent inéluctablement au même résultat ou plutôt sur le même chemin.
Consciemment ou inconsciemment, la con-sonnance (les consonnes) nous interpelle et par-foi(s) nous corrige, car nous le savons, ce qui nous lave pour nous alléger de nos lourdeurs...

Vrai

Vrai, terme masculin, il se décline au féminin par celui de vérité. Il désigne le réel par opposition à l'illusoire.

  • V c'est le vase, le conteneur.
  • R air, élément d'information émanent de l'incréé et qui forme la pensée.
  • A c'est l'absolu, la règle, autrement dit les principes et la loi.
  • I est celui qui forme les liens entre toutes choses, c'est la conscience.
  • E représente le principe de correspondance entre les différents mondes et leurs plans.

Conclusion : vrai au masculin est atrophiée de ces trois mondes, pour qu'il puisse être complét-ement vrai, donc concret. Il doit n'en former qu'Un avec son contraire ou polarité qu'est son féminin. En féminisant le terme par la lettre E, les mondes deviennent visibles, concrets.
Vraie, nous dit que : pour découvrir le contenu de la vérité, ces principes et ces lois. seule la conscience peut en apercevoir le relationnel existant entre les trois plans et leurs trois mondes, autrement dit, en toutes choses, de ce qui est en haut comme de ce qui est en bas.