Pour les adeptes de la raison pure, au-delà de cette limite, vos pensées ne sont plus valables...

- Sans vertu aucune action, si vouable et admirable puisse t'elle paraître, ne peut être juste, car, la justice elle-même est du ressort de la vertu -

Lettre D

Des oiseaux de par leur symbole volatile et de légèreté, sont au plus prés du ciel

Droit

Droit, droite, droiture, ce terme soulève bien des confusion dans le langage parlant et signifiant.
Entre le droit juridique, le droit chemin, le droit naturel, j'ai le droit en tant que liberté, aller droit aux faits, etc.
Le droit, est le verbe devoir (doit), auquel est incorporer la lettre R, symbole de l'information en mouvement, autrement dit, l'information que l'on détient.
C'est par le contenu de l'information qu'un devoir s'impose, une fois accomplit (le devoir), que la revendication d'un droit d'avoir se manifeste.
Dans la société moderne, le droit est un acquis, sans même se soucier de sa polarité qu'est le devoir...
Cependant, la loi du mérite, implique le devoir et le droit en tant que mécanisme. Cela sous-entend que l'on maîtrise les tenants et les aboutissants de cette mécanique. Cette règle morale, appliquer dans toutes les sphères de la société, à commencer par le salaire, a pour origine la parabole des talents...
Elle évoque et met l'accent sur la paresse ou ce qui est aujourd'hui assimilé au confort. Lorsque l'on a du talent, soit par le travail (le dévouement), par l'imagination (les idées), etc.
Cela, donne accès à des droits, mais ce reposer sur un talents, c'est de nouveau sombré dans la paresse...
En effet, j'ai une bonne idée, elle me permet de gagner beaucoup d'argent et je passe le restant de ma vie à profiter de ce gain, n'est-ce pas de nouveau à tomber dans une forme de facilité ?
De même que, je développe d'autres idées, qui me rapportent toujours autant d'argent, sans jamais me poser la question à quoi cela peut servir d'avoir autant d'argent, alors que je vis dans une aisance qui dépasse l'entendement...Cela, également est de la paresse, c'est le principe de la responsabilité, plus j'en ai plus je dois...
Un principe de la Divine providence, nous indique que : nul ne peut s'élever s'il ne parvient pas à aider les autres.
Dirigé une association, une fondation telle que celle de l'abbé Pierre demande autant d'intelligence et de dévouement, que d'être à la tête d'empire tel qu'Amazon, Apple, Microsoft, fabricant de voitures, vêtements, d'armes, ou tout autre produit utile. Quelle sont leurs différences, puisque à l'évidence pour tout homme il en existe une ! L'égo, est l'indicateur.
L'abbé Pierre, a enrichi les autres en les aidant à se reconstruire, tandis que les dirigeants de multinationales, c'est leurs enrichissement personnel et celui de quelques actionnaires et de leurs P.D.G qui est visé. C'est un cercle restreint, où est le devoir envers la communauté dans ce cas ?
La convention des droits de l'homme de 1789 a magistralement établit la régle : les distinctions sociales ne peuvent être fondées que sur l'utilité commune. Qui, hélas fut modifié en 1948 par la ruse en la substituant par : l’égalité de tous en dignité et en droits.
Il est souvent exprimé çà et là, que l'entreprise est amorale, certes, en tant qu'objet, elle l'est, mais, elle est dirigée par des hommes, qui ont des droits et des devoirs. Et leurs devoirs, ne se limite pas aux faits qu'ils aient produits de la marchandise, donc, un travail et à ce titre ils ont eu plus qu'une récompense. Car, lorsque l'on parle de droit et de devoir en morale, il ne s'agit nullement d'échanges commerciaux, mais, de sacralité. Se sacrifier pour quelque chose autre que le soi, que son égo...
Des chefs, il y en a de toutes sortes. Des bons, des mauvais, l'histoire en regorge d'exemples. Mais une fois de temps en temps, il en sort un être Exceptionnel. Qui laissera son nom tel un héros, une légende, dans la mémoire collective. Bien, que ce type de chef soit rare, ce qu’ils ont tous en commun, leur pouvoir secret est qu’ils ne se battent que pour la justice en rétablissant les forces des plus faibles.
C'est la grandeur qui confère une autorité à cet être et non une position sociale et la richesse matérielle, ou son pouvoir politique...