Pour les adeptes de la raison pure, au-delà de cette limite, vos pensées ne sont plus valables...

- Sans vertu aucune action, si vouable et admirable puisse t'elle paraître, ne peut être juste, car, la justice elle-même est du ressort de la vertu -

Lettre A

Des oiseaux de par leur symbole volatile et de légèreté, sont au plus prés du ciel

Perversion

La perversion se définit selon les trois source suivantes :

  • Officiellement (dictionnaires) : la perversion dans un sens général se définit comme : une inclination à des conduites considérées comme « déviantes » par rapport aux règles et croyances morales d'une société.
  • Syllabes (langue d'oiseaux) : per-version, ou autrement dit nous qualifions selon le type d'acte commis, au sens moral, d'un fait d'ordre masculin (le principe), car, il est affilié au père.

Et selon la symbolique des lettres :

  • P : La transmission – Le père (Pin, Pénis, Poil,)...
  • E : Le monde -> les trois éléments : matériel, spirituel, divin qui sont reliés par l’unité.
  • R : Le souffle – L’élément Air...
  • V : Vase – Réceptacle Masculin – Rassemble en un point...
  • E : Le monde -> les trois éléments...
  • R : Le souffle – L’élément Air...
  • S : Manifestation – Le mouvement dans tous les sens...
  • I : Lien vertical – Un – L’unité – Dieu...
  • O : Le corps – L’esprit – L’eau – Haut...
  • N : Le retournement – Transformation – Changement – La Haine...

Conclusion : le père P, du monde E souffle R contenu V dans le monde E, un souffle R qui se manifeste S en lien I que la totalité O à transformer N...

Traduction : le principe masculin (le père ), en soi (monde), doit permuter, changer (le mouvement) son souffle (l'énergie) pour former un lien vertical avec l'autre soi(monde) qui est le féminin pour obtenir leurs totalités ou leurs unités.

Explication : dans sa conception du divin, l'homme a représenté celui-ci à son image, parce qu'il est dit dans les textes sacrés que Dieu a fait l'homme à son image, hors, les premiers lettrés qui ont interprété ces textes, vivait à une époque où la parité homme - femme n'était pas encore d'actualité.
La force physique était dominante sur la sensibilité, celui qui fait et dicte la loi était le plus fort, il en était le guide.
Un guide dans un monde de survie, ceux qui dirigeaient les états, étaient davantage des guerriers que des sages.
Lorsque les sages, les érudits, les philosophes tentés d'éclairer ces hommes de pouvoirs, ceux-ci, comprenaient le sens en fonction de leurs nivaux de lecture de la réalité de ces époques, si bien, que Dieu était un personnage fait à leurs images, c'est la première perversion.
Un homme, c'était avant tout du muscle, loin de la vision d'une éventuelle sensibilité, telle que l'on se fait aujourd'hui.
La sensibilité, n'était que du domaine féminin, l'homme c'est avant tout un corps, une machine...
De nos jours, subsiste encore cette vision, peu de personnes comprennent qu'en réalité, le féminin et le masculin, sont deux principes fondamentaux en chaque être humain, qui forment une dualité.
Bien que la connaissance nous apprenne, qu'en chaque être qui dispose d'un cerveau, a ces deux principes en lui.
Le cerveau, possède deux hémisphères, le droit et le gauche, bien qu'il ait des fonctions différentes, ils n'y travaillent ni ne coopèrent ensemble, ils sont UN, le U qui est le réceptacle féminin et le N la permutation.
Le cerveau est avant tout orienté par le principe féminin, cependant, la femme a également un principe masculin, qui aura aussi contribué à la violence dans l'histoire, elle en est tout autant que l'homme cet héritage...
Comme le dit le dicton, derrière chaque homme, il y a une femme et l'inverse est tout aussi vrai, de nos jours certaines femmes sont aussi violentes par leurs propos et pas que... La guerre des mots, des clans, des statuts, etc. Ou est l'amour dans tout ça ? La tendresse si féminine dans son principe a disparu dans l'attitude de certaines femmes, qui en retour n'ont pour réplique que : "c'est typiquement masculin que de vouloir asservir la femme par la tendresse", une telle réponse montre déjà, que nous sommes plus dans la féminité, mais du discours atypique du modèle guerrier masculin qui à jalonné l'histoire...
Certaines féministes, de par leurs discours et leurs attitudes, de vouloir à juste titre défendre une certaine cause, tombent dans le piège de la reproduction du pouvoir par le modèle masculin.
L'amour, la douceur, la tendresse sont du fait féminin et leurs apparitions dans les sociétés d'aujourd'hui, est un phénomène relativement nouveau et qui date d'environ deux siècles, c'est ce que l'on appelle la libération de la femme. C'est lorsque la femme, quittant son village natal, se rendant à la ville pour travailler, qu'elle a pu se détacher de l'oppression traditionnelle. Par le gain du salaire, elle a trouvé son autonomie et c'est de là que naissait le mariage choisi et par extension : l'amour.
Auparavant il était imposé et subit, le mariage n'était qu'un pacte d'arrangement entre les familles pour des raisons d'intérêt, car, la ferme familiale était l'unique modèle de productions alimentaires et il fallait garder l'acquit.
La tradition et les religions ont maintenu ce mode de vie hérité d'un lointain passé et qui enfermait l'homme durant des millénaires. C'est l'inversion du père et du modèle masculin.
Rappel, qu'être un homme, c'est faire partie de l'espèce en tant que telle, il n'est pas synonyme d'un sexe quelconque, il ne définit pas le masculin ou le féminin. Il n'existe pas de terme homme pour désigner le sexe masculin, alors que, la femme en possède un, certes, les spécialistes du langage écrit nous ont appris que lorsque l'on définit l'homme en tant qu'espèce, s'écrivait avec un H majuscule et pour le sexe masculin fallait écrire le même terme mais avec un h minuscule, pourquoi donc a-t-on diminué ce trait vertical, n'est-ce pas pour nous signifier que le H majuscule est un symbole qui représente la balance ou la porte qui fait le lien entre le haut et le bas, l'intérieur et l'extérieur n'est-ce pas une confirmation que notre sensibilité est d'orientation féminine !
À moins que, comme beaucoup de guerriers le pensent, ça serait pour mettre de la zizanie entre les deux sexes...
Curieusement, en langage oral, ce problème n'existe pas, il n'y a pas de grand-e H ou de petit-e h hache, pas de quoi se faire la guerre, puisqu'il s'écoute donc on s'entend...

Conclusion : l'Homme est avant tout une espèce, qui possède deux principes en lui, l'un est féminin et l'autre masculin.
La définition nous dit, que l'on soit femme ou homme, nous devons nous découvrir et réconcilier l'autre moitié de nous-même, pour trouver l'unité et être aligné pour recevoir l'équilibre créateur... Article sur les principes féminins et masculins.