Vraie et vrai, une conscience de genre

Vraie, terme féminin, qui se décline au masculin par la perte de sa lettre E, pour s'écrire : vrai. L'un comme l'autre, désigne le cohérent par opposition à la fausseté.

• V : c'est le vase, le conteneur.


• R : air, élément d'information émanent de l'incréé et qui forme la pensée.


• A : c'est l'absolu, la règle, autrement dit les principes et la loi.


• I : est celui qui forme les liens entre toutes choses, c'est la conscience.


• E : représente le principe de correspondance entre les différents mondes et leurs plans.

Conclusion : vrai au masculin est atrophiée de ces trois mondes, pour qu'il puisse être complét-ement vrai, donc cohérent.
Il doit n'en former qu'Un avec son contraire ou polarité qu'est son féminin. Le féminin contient le (vrai) masculin auquel s'ajoute les trois mondes.
En féminisant le terme par la lettre E, les mondes deviennent cohérents et concrets.
Vraie, nous dit que : pour découvrir le contenu de la vérité, ces principes et ces lois, seule une vision consciente par le principe féminin peut apercevoir l'existence d'une harmonie relationnel entre les trois plans et leurs trois mondes, autrement dit, en toutes choses, de ce qui est en haut comme de ce qui est en bas.